Hé hé, – je crois qu’on trouve assez rarement des partisanEs lgtb de transformations sociales radicales dans les milieux associatifs et surtout les « centres » en question. Iels n’y tiennent pas longtemps et s’en font expulser si iles ne s’expulsent pas d’elleux mêmes, ou se résignent au « pragmatisme ». Encore une fois, comme je dis plus haut ce n’est pas un « reproche » qu’on puisse faire en logique politique interne à des sous-structures de cette société qui ne peuvent viser qu’à la perpétuer, dans la plus grande sincérité d’ailleurs. Mais c’est sûr que notre place n’est pas là dedans. Et que nous sommes souvent amenéEs à combattre ce qu’elles défendent. Encore une fois l’identité ne me paraît pas politique. Et si nous la rendons politique ce deviendra peut-être tout autre chose qu’une identité.
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